Archives de Tag: PULIM

Les PULIM de LIMOGES seront présentes au 7 éme forum de l’Histoire du Limousin

Michel Kiener publie (PULIM) 104 lettres de Martial Delépine subdélégué de l’intendant général de Limoges Turgot (jusqu’en 1774).

Bonjour,

Le 4 février au siège du Cghml (54 rue Pierre et Marie Curie) à Limoges et le 11 mars à la Maison de la Nouvelle Aquitaine (30 rue Caumartin) à Paris aura lieu une conférence de Michel Kiener qui a rassemblé 104 lettres de Martial Delépine subdélégué de l’intendant général de Limoges Turgot (jusqu’en 1774)- PULIM Editeur- . Ces lettres écrites entre 1770 et 1780 par le père Martial à son fils Jean-Baptiste garde du corps à Versailles témoignent de l’intime et du réel d’une famille de la petite noblesse administrative bien insérée dans la vie d’une grande ville de province: Limoges.

Le nombre de places étant limité, merci de bien vouloir vous inscrire :  

– par mail cghml@cghml.fr

– par téléphone 05.55.33.43.12

L’équipe Cghml.
54 rue Pierre et Marie Curie
87000 LIMOGES
05 55 33 43 12
cghml87@gmail.com

Biographie d’Alfred Leroux, Archiviste et historien protestant (PULIM).

alfred-leroux-bulletin-de-souscription

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les PULIM publient : « Jeux interdits, La transgression ludique de l’Antiquité à nos jours »

Les PULIM ont le plaisir de vous faire part de la parution de l’ouvrage 

Jeux interdits
La transgression ludique de l’Antiquité à nos jours                                  

sous la direction de Vincent Cousseau
Préface d’Élisabeth Belmas

Un fils de sénateur romain peut-il se donner en spectacle aux Jeux du cirque ? Une femme de la bonne société à la Renaissance peut-elle jouer aux cartes en compagnie masculine ? Et un séminariste peut-il pratiquer le football dans l’Italie du XXe siècle ?

Lorsque le jeu détache ses protagonistes de leurs appartenances sociales, il invite à questionner les valeurs, les codes et les conventions de la société. Jusqu’à l’époque contemporaine, l’activité ludique fait l’objet d’un puissant contrôle social exercé par les autorités politiques, civiles et religieuses. Critique morale, réprobation sociale et sanctions pénales engendrent une surveillance des joueurs et de leurs jeux qui entre en tension avec l’exercice des libertés individuelles et collectives.

Mais à ce jeu du chat et de la souris, les joueurs parviennent à se glisser entre les mailles du filet des autorités et à préserver la pratique des jeux interdits.

Sommaire

– Avant-propos (Vincent Cousseau)

– Préface (Elisabeth Belmas)

La représentation des joueurs

– Entre satire et parodie : représentation d’animaux joueurs en Égypte (Anne Elizabeth Dunn-Vaturi)

– Jouer au féminin dans la culture visuelle septentrionale (XVe-XVIIe siècles) (Antonella Fenech-Kroke)

– Le théâtre des XVIIe et XVIIIe siècles  fustige-t-il le jeu de hasard ? (Natalia Leclerc)

Le pouvoir du jeu

– La participation des élites romaines aux Ludi : entre condamnation morale, dégradation sociale et succès populaire, le sens d’une interdiction perpétuellement contournée (Agathe Migayrou)

– Le pato en Argentine : de jeu interdit  à sport national (Lucie Hémeury)

– La violence dans les jeux vidéo : discours politiques d’un thème polémique au tournant des années 2000 en France (Julien Lalu)

La religion en jeu

– Moines et jeux dans la sculpture des stalles de chœur à la fin du Moyen Âge.  Une transgression ? (Welleda Muller)

– Divertissements et maîtres en Islam (Alex de Voogt)

– Interdire le calcio ? Les tourments footballistiques du clergé italien au tournant des années 1950 (Fabien Archambault)

Déstabilisations sociales

– Les jeux d’illusion déstabilisateurs de l’ordre mondain de la science en France  au XVIIIe siècle (Gilles Chabaud)

– Les jeux en Corse : entre attrait et réprobation sociale (fin de l’époque moderne-XIXe siècle). L’exemple de la Balagne (Laetizia Castellani)

– Le jeu de rôle sur table et les interdits : histoire d’une acceptation progressive et difficile dans le monde contemporain (Denis Huneau)

220 pages / ISBN : 978-2-84287-694-4 / 20 €

Cet ouvrage est disponible :

à la boutique des PULIM

39C, rue Camille Guérin  87031 Limoges cedex

Tel. : 05 55 01 95 35 – Fax : 05 55 43 56 29 – email : pulim@unilim.fr

en librairie

auprès de notre diffuseur :

FMSH-Diffusion 18-20, rue Robert Schuman- 94220 Charenton-Le-Pont

Tél : 01.53 48 56 30 – Fax : 01.53 48 20 95 – email : cid@msh-paris.fr

en ligne

http://www.lcdpu.fr

http://www.pulim.unilim.fr

Nous espérons qu’il saura retenir votre attention et nous vous souhaitons une agréable lecture.

Bien cordialement,

Jacqueline Hoareau-Dodinau,

directrice des PULIM

Jacqueline Hoareau-Dodinau
Professeur d’histoire du droit
Directrice des PULIM
39c, rue Camille Guérin – 87031 Limoges cedex
tel. : 05 55 01 95 35
Présidente de l’AEDRES (association des éditeurs de la
Recherche et de l’enseignement supérieur)
Jacqueline.hoareau@unilim.fr

Conférence de Michel Kiener à Chaptelat (87270) sur la circulation en Limousin au Moyen-Age

circulation

Le Populaire du 21 avril 2016.

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Aux PULIM.  » Justice et Miséricorde ». Textes réunis par Catherine Vincent

Justice et miséricorde

PULIM. Une histoire des circulations en Limousin. Hommes, idées et marchandises en mouvement de la Préhistoire à nos jours.

Une histoire des circulations en Limousin.
Hommes, idées et marchandises en mouvement de la Préhistoire à nos jours

sous la direction de Robert Chanaud

Les hommes, les objets, les idées n’ont jamais autant circulé qu’aujourd’hui, ni aussi vite. Cependant on n’a pas attendu notre époque pour aller voir ce qu’il y avait derrière l’horizon. Mais comment voyageait-on au Moyen Âge ? Comment s’y prenait Yrieix – un futur saint – dans sa chasse aux reliques ? Où les sculpteurs romans allaient-ils chercher leurs modèles ? Quels réseaux empruntaient les faux-monnayeurs ? Est-il vrai que c’est Turgot qui a créé le réseau routier du Limousin ? L’on sait que cette province fut une terre d’émigration, et l’on croit tout savoir sur les maçons de la Creuse, mais l’on ignore souvent que Limoges fut un centre majeur de redistribution des marchandises au xixe siècle, ou encore que cette ville comportait une communauté de colporteurs ashkhénazes. On pense que l’arrivée du chemin de fer a signé l’entrée dans la modernité de la circulation, mais on méconnaît l’importance de la révolution routière qui l’a précédée. Voilà quelques-unes seulement des questions sur lesquelles cet ouvrage apporte des éclairages, souvent inattendus. En étudiant les circulations à partir d’un territoire nettement défini et sur la très longue durée, Rencontre des Historiens du Limousin apporte sa pierre singulière à un courant historiographique particulièrement dynamique, tout en répondant aux légitimes curiosités du public régional. Enclavé, le Limousin ? On risque d’être surpris !

  632 pages

ISBN : 978-2-84287-666-1

28 €

Salon « Lire à Limoges ». Philippe Paret des PULIM, habituées des Rencontres, y dédicacera le 11 avril 2015.

Philippe Paret  dédicacera son ouvrage  Le communisme rural en Haute-Vienne. Etude d’une culture politique de la Libération à la fin des années 1960 sur le stand des PULIM au salon Lire à Limoges le 11 avril 2015- 

Jacqueline Hoareau-Dodinau

Professeur d’histoire du droit

Directrice des PULIM Présidente de l’AEDRES (association des éditeurs de la
  Recherche et de l’enseignement supérieur)

Le communisme français n’a pas été seulement celui des ouvriers. Dès l’entre-deux-guerres, de nombreuses communes des campagnes ont dirigé leurs suffrages vers le PCF, en contradiction avec l’image conservatrice qui colle souvent aux paysans en matière politique. Cette implantation précoce ne s’est pas démentie à la Libération, bien sûr en lien avec l’aura acquise par le parti dans la Résistance. C’est ainsi que la Haute-Vienne, dont les campagnes sont les dépositaires d’une tradition rouge et contestataire remontant au XIXe siècle, sont devenues à la fin de la guerre et jusque dans les années 1980 un véritable bastion communiste, malgré le poids considérable de l’autre parti de gauche dans le département, la SFIO.
Cet ouvrage se propose de retracer l’historique de cette implantation au cours d’une période charnière dans le monde rural: celle qui court de la Libération à la fin des années 1960, alors que la civilisation paysanne est en train de disparaître. Se dessine une manière d’être communiste à la campagne fortement liée à une identité locale et donnant naissance à une culture politique en apparence paradoxale, au croisement de l’idéologie, des structures et des intérêts portés par le PCF d’une part, des représentations et des revendications des paysans haut-viennois d’autre part. Ces derniers, dans un département marqué par la petite propriété, ne souhaitent pas la révolution prolétarienne ou la collectivisation des terres, mais la protection de leur métier et de leur mode de vie, dont ils sentent bien toute la fragilité sous les coups que leur portent l’essor du productivisme agricole et la dernière vague de l’exode rural.

Parution aux PULIM présentes aux Rencontres 2014. Martial Delépine . Mon cher fils. Lettres du subdélégué de Limoges à son fils garde du corps à Versailles 1770-1780 éditées par Michel C. Kiener et Marthe Moreau

Martial Delépine
Mon cher fils. Lettres du subdélégué de Limoges à son fils garde du corps à Versailles . 1770-1780
éditées par Michel C. Kiener et Marthe Moreau.

Un document rarissime, qui devrait prendre place parmi les textes de référence publiés sur le XVIIIe siècle : plus de cent lettres écrites entre 1770 et 1780, en réponse à son « cher fils » garde du corps à Versailles, par le subdélégué de Limoges, collaborateur de l’intendant Turgot. A l’aube du romantisme, voici un noble en père aimant, une Sévigné de province qui rend compte de sa vie de famille. Et apporte bien du nouveau sur la vie des gardes du corps de la Compagnie écossaise.
Cent-quatre lettres intégralement transcrites, précédées d’une riche introduction due à un historien familier de la période et de Limoges.
Il s’agit d’une correspondance parfaitement privée concentrée sur une période assez courte, une dizaine d’années, entre 1770 et 1780, cent quatre lettres envoyées à son fils Jean-Baptiste par un robin de petite noblesse, le Limousin Martial Delépine, subdélégué de l’intendant de Limoges, le grand Turgot jusqu’à 1774.
Cette correspondance échangée à la charnière des deux règnes des rois Louis XV et Louis XVI est précieuse à plusieurs titres. On y trouve, certes, des renseignements sur la façon dont circulent les lettres, et d’autres, très fragmentaires mais capitaux, sur les débuts de l’industrie de la porcelaine à Limoges ; elles livrent un témoignage « au réel » sur la vie d’un garde du corps du roi à Versailles, au-delà des documents de gestion conservés dans les fonds d’archives publiques. Elles permettent surtout de plonger dans la vie quotidienne d’une famille de petite noblesse administrative, bien intégrée dans ce qui était selon les critères de l’époque une grande ville de province. Limoges, chef-lieu de la généralité du même nom et d’un évêché couvrant deux départements d’aujourd’hui, la Haute-Vienne et la Creuse, approchait en effet les vingt mille habitants ; cette ville des intérieurs, était encore une place de négoce, qui eut ses heures de gloire avant que la découverte des Indes et l’essor du commerce maritime, au long cours ou de cabotage, vienne torpiller son emprise. Elle n’en demeurait pas moins une place importante pour le commerce du poivre, et sa Monnaie continuait de frapper le billon pour le compte du roi.

Ces lettres sont passionnantes surtout pour ce qu’elles disent des relations intrafamiliales telles qu’on pouvait les pratiquer vers le milieu du XVIIIe à l’aube des Lumières. À l’origine de cette correspondance, il y a le départ du jeune Jean-Baptiste Delépine, parti à dix-neuf ans en décembre 1769 tenter sa chance à Versailles comme garde du corps surnuméraire. Il espérait intégrer rapidement l’une des unités les plus prestigieuses de la Maison du roi, la Compagnie écossaise commandée par un Limousin de haute volée, le duc de Noailles ; il lui fallut pour cela pas loin de deux années, passés à ronger son frein aux frontières de la cour.

Matière à histoire

Dirigée par Robert Chanaud, la collection a pour objectif de porter à la connaissance du public des sources documentaires (mémoires, chroniques, livres de raison, correspondances…) demeurées inédites jusque-là. Conservés dans des fonds publics ou des archives privées, ces documents méconnus, parfois méprisés, méritent de sortir de leur oubli relatif ou total car ils permettent d’éclairer utilement tel ou tel chapitre de la « grande » histoire. L’édition rigoureuse du texte s’accompagne d’une introduction qui s’attache à donner au lecteur tous les éléments d’informations sur le document, son auteur, son contexte historique permettant ainsi d’en apprécier la valeur.

278 pages
ISBN 978-2-84287-631-9
25 €

Cet ouvrage est disponible :

·         à la boutique des PULIM
39C, rue Camille Guérin  87031 Limoges cedex

Tel. : 05 55 01 95 35 – Fax : 05 55 43 56 29 – email : pulim@unilim.fr

·   en librairie
·   auprès de notre diffuseur :
FMSH-Diffusion 18-20, rue Robert Schuman- 94220 Charenton-Le-Pont

Tél : 01.53 48 56 30 – Fax : 01.53 48 20 95 – email : cid@msh-paris.fr

·   en ligne
http://www.lcdpu.fr
http://www.pulim.unilim.fr

Prof. Jacqueline Hoareau-Dodinau,
directeur des PULIM

Les PULIM seront présentes au 6e Forum de l’Histoire du Limousin le vendredi 12 décembre 2014

Les PULIM présenteront l’ensemble de leurs collections d’ouvrages historiques(Histoire, RHL, Matière à histoire, Temporalités, Identités limousines, CIAJ, Hors-série)

à l’occasion du

6e Forum de l’Histoire du Limousin

Le vendredi 12 décembre 2014

aux Archives départementales de la Haute-Vienne

1, allée Alfred Leroux

Limoges

de 9 heures à 18 heures